Mutuelle chômeur pas chère : quels sont les tarifs les moins élevés sur le comparateur pour qu’un demandeur d’emploi assure sa santé ?

Le tarif d'une mutuelle de chômeur pas chère est au minimum de 12 €/mois sur ce comparateur en ligne. Ce tarif est accessible pour les jeunes qui cherchent une formule couvrant uniquement les frais hospitaliers.

Pour les chômeurs qui cherchent une couverture adaptée, ce site de mutuelles pas chères met à la comparaison des formules santé économiques à des prix parant de :

  • 18,60 € pour une mutuelle de jeune chômeur de 25 ans
  • 26,41 € pour un demandeur d'emploi de 35 ans
  • 32,17 € pour un inscrit à France Travail (ex Pôle Emploi) de 55 ans.

Les mutuelles aux tarifs pas chers susmentionnés sont des solutions financièrement intéressantes pour les jeunes chômeurs en pleine recherche du 1er emploi. Elles sont à découvrir en faisant un devis gratuit en ligne.

Mutuelle chômeur pas chère : un tarif 30% moins coûteux est possible sur ce comparateur avec une meilleure combinaison de garanties pour baisser le prix au demandeur d’emploi

Le chômeur peut choisir entre plusieurs mutuelles santé pas chères dont les tarifs sont jusqu'à 30 % plus économique sur ce comparateur. Cette baisse de prix coïncide avec des taux de remboursement compris entre 100 et 130 % pour couvrir les frais médicaux de 1ère nécessité dont les constations et l'hospitalisation.

Le comparateur présente les offres de mutuelles santé dont les tarifs pas chers s'adaptent au risque de prolongation de la période de chômage suivant l'âge. Le tableau suivant donne des exemples de ces prix :

Âge du chômeur Tarif de la mutuelle
24 ans 17,62 €
30 ans 21,50 €
40 ans 26,75 €

Exemples de tarifs de mutuelles pas chères pour chômeurs

Les tarifs présentés sur ce comparatifs tiennent compte des risques médicaux encourus pour chaque tranche :

  • de 18 à 24 ans : 17 %* des jeunes sont des demandeurs d'emploi et ils sont les moins touchés par les maladies.
    Pour cette raison, leurs mutuelles sont proposées sur ce site comparatif aux tarifs les moins chers (16 € en moyenne) et permettent de rembourser les frais médicaux basiques y compris les lunettes et les prothèses dentaires de classe A (aux frais réels).
  • de 25 à 49 ans : 6,7 %* de cette tranche d'âge sont en quête d'emploi et ils sont peu touchés par le chômage de longue durée. Les tarifs de leurs mutuelles sont en moyenne de 25,70 €/mois avec la possibilité de prendre des formules modulables prévues pour éliminer les garanties inutiles.
  • plus de 50 ans : 5,1%* des seniors sont affectés par le chômage et parmi eux, une grande partie peine à retrouver du travail jusqu'à l'âge légal de la retraite. Les prix prédominants et les plus prisés sont compris entre 34 et 41 €.

À savoir, toutes les offres santé pas chères proposées sur ce comparateur pour les demandeurs d'emploi sont celles de mutuelles à effet immédiat. Elles permettent d'être couvert dès l'adhésion pour percevoir les remboursements des frais médicaux urgents.

Le comparateur indique aussi la possibilité de prendre une mutuelle pour l'hospitalisation seule. Cette solution est particulièrement adaptée pour les jeunes chômeurs en parfaite santé et n'ayant aucun besoin de lunettes, ni de traitement dentaire.

Mutuelle chômeur pas chère : quelles autres solutions pour garder un tarif économique hormis les offres santé proposées par ce comparateur ?

Le chômeur peut obtenir une mutuelle à tarif pas cher hors du comparateur. Pour cela, plusieurs solutions existent à condition de remplir certaines conditions exigées par la loi. En voici les plus pertinentes :

  • Un maintien de la complémentaire santé de l'entreprise :

    La loi Évin assure le maintien du droit à la mutuelle d'entreprise durant la période de chômage suivant les règles de la « portabilité des garanties santé et de prévoyance ».
    L'ex-employeur est tenu de payer les cotisations pour une période maximale de 12 mois. Cette durée est réduite pour le licencié ayant travaillé moins d'1 an (exemple : 3 mois seulement si l'embauche a duré un trimestre).
    Le maintien du droit à la mutuelle santé reste provisoire et nécessite l'inscription à Pôle Emploi (l’actuelle France Travail) et la perception de l'allocation chômage. En cas de faute grave, le demandeur d'embauche est obligé d'exploiter d'autres alternatives pour avoir une formule santé gratuite ou au prix le moins cher.

  • La complémentaire santé solidaire :

    L'État prévoit une mutuelle pour les personnes en chômage moyennant un tarif bas et réglementé. Il s'agit de la Complémentaire Santé Solidaire ou CSS qui remplace la CMU-C et sert d'une aide à la mutuelle intéressante. Son prix est de 8 € pour le jeune demandeur d'emploi de 20 à 29 ans et évolue progressivement à 25 €/mois vers 60 ans d'âge. Ces cotisations sont adaptées pour les personnes recherchant de l'embauche et percevant des allocations et des aides financières.
    Quant aux chômeurs sans aucun revenu, la complémentaire santé solidaire devient gratuite. De toute façon, la CSS permet de rembourser tous les frais médicaux de première nécessité à 100 %. Pour la demander, il suffit de remplir un formulaire disponible sur le site Ameli.

  • Le choix d'une mutuelle associative ou communale :

    Cette solution est envisageable par les personnes sans emplois. En effet, plusieurs communes ont instauré des mutuelles pour leurs habitants à des tarifs moins chers que les moyennes régionales. Il existe aussi diverses associations qui proposent à leurs adhérents et bénévoles des complémentaires santé contre des cotisations très modérées.

Quoi qu'il en soit, le mieux en période de chômage est de comparer les mutuelles santé afin de connaitre celle au prix le plus intéressant et propice à la réalisation d'une bonne économie.

Mutuelle chômeur pas chère : comment obtenir la portabilité d’une complémentaire santé d'entreprise et à quelle évolution de prix s'attendre ?

Le maintien du droit à la mutuelle d'entreprise en début de chômage est facilité par la loi Évin. Cette dernière stipule que, suite à un licenciement économique ou pour inaptitude, le salarié accède par simple demande auprès de Pôle Emploi à une « indemnisation chômage ». Il peut ainsi aspirer à la portabilité de la complémentaire santé payée en totalité par son employeur dès la rupture du contrat de travail.

De cette façon, la personne fraîchement licenciée ne supporte aucunement le prix de sa formule santé durant 12 mois au meilleur des cas. Dans ce cas, l'employeur est chargé de supporter toute la procédure pour assurer la portabilité de la mutuelle pour son salarié après la rupture de contrat.

Après la fin de période de portabilité, le chômeur peut encore conserver la complémentaire santé d'entreprise. Pour cela, il est nécessaire de :

  1. Répondre favorablement à l'offre de maintien des garanties à titre individuelle envoyée par la mutuelle santé dans les 2 mois succédant à la période de portabilité.
  2. Accepter de payer entièrement les cotisations par ses propres moyens.

Le dernier point est le plus épineux pour un demandeur d'emploi. En effet, le prix va progressivement augmenter suivant 3 étapes :

  • Retenir le tarif stable durant la 1ère année
  • Augmentation de la cotisation à raison de 25 % à la 2ème année
  • Majoration de 50 % durant la 3ème année.

Pour cela, il est plus avantageux de réaliser des devis comparatifs pour trouver une formule moins chère sur « Mutuelles-Pas-Cheres.org ».

* chiffres ayant pour source l'INSEE

Article mis à jour le 19/08/2024 | Par Mutuelles-pas-cheres.org


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